samedi 27 novembre 2010
vendredi 26 novembre 2010
la recette du bonheurs ;;a suisvre
recette du bonheur
dans les grand plat du bonheur
versez tout d abord de la joie de vivre a ras bord
mélanger avec concentré d amitée
prenez de bonnes tranches de rigolade
que vous soupoudrez de fous rires
nappez de beaucoup d amour tendre et sucré
pimentez de quelque grains de follies
servez avec une peche d enfer et
faite durer lontemps
A CONSOMMER SANS MODERATION
dans les grand plat du bonheur
versez tout d abord de la joie de vivre a ras bord
mélanger avec concentré d amitée
prenez de bonnes tranches de rigolade
que vous soupoudrez de fous rires
nappez de beaucoup d amour tendre et sucré
pimentez de quelque grains de follies
servez avec une peche d enfer et
faite durer lontemps
A CONSOMMER SANS MODERATION

lundi 22 novembre 2010
les animeaux du froids
Les animaux du froid.
Quels sont ces animaux qui ne sont pas gênés par le froid ? 1. Mon beau sapin, roi des forêts,
Que j'aime ta verdure.
Quand par l'hiver, bois et guérets
Sont dépouillés de leurs attraits.
Mon beau sapin, roi des forêts,
Tu gardes ta parure.
Que j'aime ta verdure.
Quand par l'hiver, bois et guérets
Sont dépouillés de leurs attraits.
Mon beau sapin, roi des forêts,
Tu gardes ta parure.
2. Toi que Noël planta chez nous
Au saint anniversaire
Joli sapin, comme ils sont doux
Et tes bonbons et tes joujoux.
Toi que Noël planta chez nous
Par les mains de ma mère.
Au saint anniversaire
Joli sapin, comme ils sont doux
Et tes bonbons et tes joujoux.
Toi que Noël planta chez nous
Par les mains de ma mère.
3. Mon beau sapin, tes verts sommets
Et leur fidèle ombrage.
De la foi qui ne ment jamais,
De la constance et de la paix.
Mon beau sapin, tes verts sommets
M'offrent la douce image.
Et leur fidèle ombrage.
De la foi qui ne ment jamais,
De la constance et de la paix.
Mon beau sapin, tes verts sommets
M'offrent la douce image.
dimanche 21 novembre 2010
Mon amour, ma tendresse, ma vie
Attendre un message de ta part, un message qui dira "je t'aime" tout simplement.
A chaque fois où je ne m'y attends plus, tu surgit et tu me redonne espoir, je sais que cela n est pas facile non plus de ton coté mais je te l ai dit, tout depend de toi.Je suis plus que prete a partir avec toi, plus que jamais je veux sentir la chaleur du soleil sur mon visage quand je suis a tes cotés, ouvrir et fermer les yeux et sentir que tu es la...
On essaie de se voir, pas facile tout le temps de s eclipser et de voler un baiser entre deux portes, mais si tu savais comme j aime ces moments avec toi, pour rien au monde je ne les echangerai..
On ne s est pas vu depuis 3 semaines, tu me manques tellement, heureusement que internet existe, les webcam et le telephone gratuit, on partage tellement de chose ensemble, comme tu le dis si bien, on est comme deux ames soeurs, tu dis que tu m aimes, c est si agreable de t entendre prononcer ces mots...
A bientôt mon tendre, a tres vite, serre moi encore, jusqua etouffer de toi
je t'aime
lettre d,amour.............
Le temps n'a rien changé, je t'aime,
Comme au premier jour, premier mot,
La vie n'est pas toujours la même,
Parfois le silence et tantôt
Les éclats de rires s'enchaînent
Et mes yeux dans tes yeux se noient,
J'oublie que j'avais de la peine,
J'oublie pour la millième fois
Que le ciel est encore triste,
Que le soleil ne viendra pas.
Je sais simplement qu'il existe
Le plus beau cadeau ici bas,
Ce grand amour que l'on partage,
Que tu me donnes de ta vie,
Cette passion qui avec l'âge
Comme la rose s'embellit.
Malgré les heurts de nos disputes,
Malgré les maux de notre vie,
Je t'aime à la moindre minute,
Aux moindre pas, aux moindre cris,
Je t'aime car sans toi j'ignore
Le parfum amer d'un adieu,
Parce-que de tes mains tu décores
Mon corps, mes chemins et mes lieux
Et même si parfois je sème
Des éclats de voix un peu sots,
Le temps n'a rien changé, je t'aime
poeme d,amour elle senflamme..............
L’horizon mordoré se couche dans vos yeux, 
Les voilà feux follets d’un arc-en-ciel joyeux !
Le zéphyr danse dans vos frisettes sauvages,
Mon regard contemple votre charmant visage !
Nos mains, à peine se frôlent et s’animent.
Nos doigts se cherchent, s’emboîtent, unanimes.
Dans vos grands yeux clairs, remplis de désir
Comme un ciel étoilés, m’incitent au plaisir.
Sur vos lèvres pulpeuses, se glisse l’ardeur
Du soir diapré, suis émue de votre bonheur !
Voire votre sourire soleil, me rend heureuse !
L’éclat de vos yeux luit, en mon âme rêveuse.
Je m’abreuve au calice de vos lèvres
Afin de désaltérer mon corps, tout en fièvre.
Contre vos seins d’albâtres, m’étreindre
Et assouvir une âme qui ne cesse de geindre.
Main dentelle effleure votre torse musclé,
Se pose votre main, sur mes reins dénudés.
S’enlacent nos soupirs lyre, accord vibrato.
Votre bras sur ma peau satin, doux trémolos !
L’allure de votre chute de reins, en cascades,
M’incite à augmenter mes saccades
Comme deux violons en parfaits accords
Rythmés, faisant danser, un corps à corps.
Sire, amenez-moi valser au bal de l’amour,
Apprenez-moi le verbe Aimer sans atours.
Désaltérons nos âmes assoiffées d’aimer,
La tendresse, éteindra nos volcans enflammés !
Gente dame, restez avec moi dans la danse
Et suivez le rythme de mes pas dans la cadence.
Je vous y emmènerai et saurai allumer votre flamme
Afin qu’à la moindre étincelle, elle s’enflamme !
Duo Reveecrire et Elle.
Les voilà feux follets d’un arc-en-ciel joyeux !
Le zéphyr danse dans vos frisettes sauvages,
Mon regard contemple votre charmant visage !
Nos mains, à peine se frôlent et s’animent.
Nos doigts se cherchent, s’emboîtent, unanimes.
Dans vos grands yeux clairs, remplis de désir
Comme un ciel étoilés, m’incitent au plaisir.
Sur vos lèvres pulpeuses, se glisse l’ardeur
Du soir diapré, suis émue de votre bonheur !
Voire votre sourire soleil, me rend heureuse !
L’éclat de vos yeux luit, en mon âme rêveuse.
Je m’abreuve au calice de vos lèvres
Afin de désaltérer mon corps, tout en fièvre.
Contre vos seins d’albâtres, m’étreindre
Et assouvir une âme qui ne cesse de geindre.
Main dentelle effleure votre torse musclé,
Se pose votre main, sur mes reins dénudés.
S’enlacent nos soupirs lyre, accord vibrato.
Votre bras sur ma peau satin, doux trémolos !
L’allure de votre chute de reins, en cascades,
M’incite à augmenter mes saccades
Comme deux violons en parfaits accords
Rythmés, faisant danser, un corps à corps.
Sire, amenez-moi valser au bal de l’amour,
Apprenez-moi le verbe Aimer sans atours.
Désaltérons nos âmes assoiffées d’aimer,
La tendresse, éteindra nos volcans enflammés !
Gente dame, restez avec moi dans la danse
Et suivez le rythme de mes pas dans la cadence.
Je vous y emmènerai et saurai allumer votre flamme
Afin qu’à la moindre étincelle, elle s’enflamme !
Duo Reveecrire et Elle.
le peme le ;;;bourreau............
Abusée comme une bête
Sur qui il se donne tous les droits
Ces hideuses envies de mâle
Sur une pauvre femelle
De sa force sexuelle
Il use de mon intimité qui a mal
Sous les assauts de l'effroi
Ces viols qui me prennent la tête
M'incendient le corps
Et me brûlent le cœur
Lorsque l'homme ainsi animal
Me fait vomir sur l'acte charnel
Non désiré égal criminel
Mari bestial
Dont je tais les horreurs
Et cache à tort
Le secret en ma chair meurtrie
La peur plus forte que tout
Il n'est que la mort
Qui puisse me délivrer
Elle surpasse toutes mes pensées
Tous mes efforts
A vouloir survivre en chienne à genoux
Aux pieds d'un bourreau cramoisi
Par l'alcool, mes maux
Sa virilité, son seul courage
Qui m'écrase sous son poids
A la couche des violences
J'en gémis en silence
Au plus profond de moi
Prisonnière de ses façons sauvages
Et de son haleine fétide sur ma peau...
la vie est une menteuse;;;;;;;;;;;;;;;;;
La vie est une menteuse, elle ment si bien qu'elle fait croire au monde qu'elle est belle. Pourtant cette menteuse finnit nous lance ces illusions de bonheurs, nous jette aux yeux des paillettes ; comme le marchand de sable aux enfants qui veillent tard le soir. La vie ment comme elle respire, elle étouffe la réalité pour la transformer en la sienne, seulement la vie a une rival, la mort. La mort ne vous ment pas, elle est froide, calme, mais sincère... La vie nous fait croire qu'elle est bien plus belle qu'elle, seulement quand nos yeux s'ouvrent enfin, quelqu'un sera toujours ensorcellé pour vous dire que rien n'est pire que la mort et rien plus beau que la vie... C'est alors que la vie ne tiens plus qu'à un fil, qu'elle est sur la lame du rasoir, elle attends patiement de vous souffler aux oreilles les mensonges qui vous font changer d'avis. Ceux qui vous font tant aimer la vie. Le mensonge hante la vie, hante tes mots, toi qui est vivant grace à son souffle d'ironie qu'elle a déposé en ton âme . Finalement comme des pantins la vie nous mène sur le fleuve de l'ignorance, finalement nos vies ne valent pas grand choses. Elles filent à la vitesse d'un regard, à la vitesse d'un sourire, à la vitesse d'une larme, rythmée par nos illusions de vérité. Toi, qui semble tout savoir, tu ignores pourtant que la vie est une menteuse, tu ignores bien que la mort, de sa froideur, n'est autre que la vie qui fane, la vie qui ne sait plus mentir, alors, elle emporte avec elle, peu a peu, tous ceux à qui elle avait tant mentis...
une poesie sy etrange ;;;;;;;;;;;;;
Je ne savais combien pouvait être étroite
La surface d'une cage aux barreaux fermés
Quand la solitude en visiteuse ingrate
Me jette dedans, m'y fermant d'un tour de clef
Cage virtuelle où j'y ai découvert
L'abandon du monde pourtant familier
Du soleil à l'ombre de l'angoisse en mes vers
J'ai pour seules compagnies la plume et l'encrier
Aux barreaux m'entourant j'y accroche mes rêves
Songes dont la vie, au présent, n'en a cure
Oubliée du monde où je survis ou crève
Il n'est pas de tombeau qui n'ai de faiblesse
J'en sortirai vainqueur grâce à l'écriture
En creusant le néant d'une griffe tigresse
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